Delphine Joubert

Mon style et mes sources d’inspiration

Je suis une coach qui écoute avec empathie et qui peut poser des questions parfois confrontantes. Je suis une coach qui sait rassurer et encourager, et qui peut aussi proposer d’aller explorer des contradictions et des zones d’ombre. Parce que selon moi, le tact peut aussi s’accompagner d’exigence.

J’ai de nombreuses influences :

  • Mon expérience business & corporate, en ayant longtemps travaillé au sein d’une PME et d’une multinationale en marketing. J’y ai passé des milliers d’heures à écouter et comprendre les besoins, attentes et raisonnements de consommateurs, pour éclairer la prise de décision de grands groupes.
  • L’approche systémique, qui permet d’élaborer des stratégies évolutives ou de rupture afin d’aider les acteurs de l’entreprise, en particulier ceux qui résistent au changement, à s’adapter à de nouveaux contextes pour atteindre leurs objectifs.
  • L’improvisation théâtrale – c’est pratique pour les mises en situation (entretien d’embauche, évaluation annuelle…)
  • Un état d’esprit culturel international
  • La psychanalyse, qui m’a montré à quel point je suis mon premier outil de travail

 

En tant que coach, je suis à l’aise du côté de l’inventivité. Les outils typologiques me parlent moins parce qu’il est difficile de résister à la tentation de « mettre les gens dans des cases ». Je propose donc aux personnes que j’accompagne des outils qui leur donnent un rôle actif, comme le photolangage.

Je travaille dans « l’ici et maintenant » des situations de changement. Par exemple, je peux accompagner un client pour « favoriser l’émergence de la posture de leadership dont son entreprise en pleine transformation a besoin ». Mais je ne saurai pas répondre aux questions plus génériques « comment être un leader » ou « comment changer une organisation ».

Dit autrement, je créé les conditions pour que chacun développe de nouvelles compétences et de nouveaux comportements adaptés à leurs besoins du moment et à leurs circonstances uniques. Concrètement, comment s’adapter à cette nouvelle culture d’entreprise, à cette nouvelle organisation, à ces nouvelles fonctions… Cela demande de (re)trouver confiance et d’accepter de se donner du temps. Parce que lorsqu’on doit « désapprendre » puis « réapprendre » quelque chose, on passe par des moments de déséquilibres et de décalages entre les connaissances acquises et l’efficacité professionnelle. C’est pourquoi, quand on est face à un tournant professionnel, il est important de comprendre ses envies, ses craintes et ses résistances, et de s’en servir pour définir une stratégie et un plan d’accompagnement adaptés.

Mes certifications et accréditations de coach professionnelle

J’ai suivi deux formations au coaching individuel et d’équipe, d’une durée totale d’environ 250 heures, et je continue chaque année à dédier du temps pour continuer à développer ma pratique et ma posture.

L’ensemble de mon expertise est aujourd’hui reconnu en France avec la certification RNCP (Répertoire national des certifications professionnelles) et à l’international avec la certification ICF (International Coaching Federation).

Et depuis le lancement de mon activité, j’ai choisi d’être supervisée par un binôme de coachs psychosociologues au cours de journées de supervision collective.

J’ai consacré beaucoup de temps à me former au coaching pace que je me doutais que cela allait me demander des efforts de passer d’une posture de consultante à une posture de coach. C’est cette juste posture qui me permet « d’être dans l’instant » avec mes clients, et de les guider d’une manière personnalisée et créative. Acquérir cette posture demande davantage de temps que d’apprendre à utiliser des méthodes et des outils.

Comment je suis devenue coach professionnelle

En 2018, j’ai pris un tournant passionnant en faisant évoluer mon parcours vers le coaching professionnel.

Ma reconversion comme coach professionnelle, et tous les changements que j’avais vécus auparavant (changer de poste, d’entreprise, de pays…), m’ont donné envie d’accompagner des personnes et des équipes face à un tournant professionnel et à des questions d’adaptation et d’évolution.

J’ai démarré ma vie professionnelle dans les études marketing en tant que consultante qualitative en 2004, dans une PME d’une cinquantaine de collaborateurs. A quoi ça sert, les « études qualitatives » ? A comprendre les besoins et les attentes des gens, ce qui les motive ou les frustre, pourquoi ils font les choix qu’ils font… C’est au cours de ces premières années que j’ai appris que les questions ne sont pertinentes que si elles sont posées aux bonnes personnes. Et que poser de bonnes questions, c’est comme lancer une bonne blague, c’est aussi une question de timing : trop tôt ou trop tard dans une discussion, les questions tombent à plat !

Plus tard, j’ai rejoint Kantar TNS, multinationale de plusieurs dizaines de milliers de salariés dans le monde, en tant que Directrice de Clientèle, toujours avec mon expertise de qualitativiste. Entre Paris et Londres, mon environnement professionnel est devenu multiculturel, avec des équipes de différentes nationalités et des projets internationaux pour de très grandes entreprises. Au fil des années, en tant que manager, j’ai encadré des équipes de plus en plus seniors, et apporté de plus en plus de soutien et de conseils les évolutions professionnelles des uns et des autres.